GRÂCE
À travers de toi je me pose
Avec encore l’eau ou le "cru"
Je me noie dans l’incertitude
Bien au-delà des regrets
Le temps efface les mots
Avec son balai poussiéreux
Laissant un coin de souvenir
Dans l’aile d’un au-delà
Hélas le sonneur est là
Avec sa gueule grotesque
Laissant sa belle s’évanouir
Dans des corps enlacés
C’est un jardin oublié
Là où personne ne va
Car le Vent trône parfois
Quand il est bien décidé